Un remède pour sauver le monde proposé par le Prix Nobel
En voilà une idée, quelle est bonne ! Pour sauver le monde, le Prix Nobel Stephan Chu a récemment proposé une idée loufoque lors d'une conférence à Londres : peindre la Terre en blanc.
Une blague ? Pas du tout, ce noble chercheur est très sérieux. Il recommande de recouvrir toutes les rues du monde de blanc, tous les toits aussi, tout enfin. En fait, il est parti d'un constat très simple : puisque les surfaces claires renvoient plus la lumière du soleil, les clims des bâtiments blancs seront moins gourmandes en énergie.
Chu pense que "de telles mesures d'économie sont le facteur le plus important pour réduire les rejets de gaz à effets de serre." Selon ses calculs, cela permettrait même de faire rouler les voitures du monde onze ans de plus, grâce à l'énergie économisée. En plus, ce serait meilleur pour le moral de vivre dans une ville blanche que recouverte de béton et d'asphalte gris.
Reste à savoir comment cette bonne idée serait applicable dans des méga-cités telles que Mexico, Sao Paulo ou encore Bangkok ! Chu n'en dit rien. De même, il ne dit pas qui serait chargé de repeindre les villes et d'assumer les coûts de cette nouvelle parure.
Et combien de temps les villes resteraient blanches ? Les gaz d'échappement recouvrent tout de noir. L'asphalte foncé est en fait un cache misère ! Stephen Chu a l'air d'être resté dans les sphères de la théorie. Pour sauver le monde... il faut commencer par avoir les pieds sur Terre !
Une blague ? Pas du tout, ce noble chercheur est très sérieux. Il recommande de recouvrir toutes les rues du monde de blanc, tous les toits aussi, tout enfin. En fait, il est parti d'un constat très simple : puisque les surfaces claires renvoient plus la lumière du soleil, les clims des bâtiments blancs seront moins gourmandes en énergie.
Chu pense que "de telles mesures d'économie sont le facteur le plus important pour réduire les rejets de gaz à effets de serre." Selon ses calculs, cela permettrait même de faire rouler les voitures du monde onze ans de plus, grâce à l'énergie économisée. En plus, ce serait meilleur pour le moral de vivre dans une ville blanche que recouverte de béton et d'asphalte gris.
Reste à savoir comment cette bonne idée serait applicable dans des méga-cités telles que Mexico, Sao Paulo ou encore Bangkok ! Chu n'en dit rien. De même, il ne dit pas qui serait chargé de repeindre les villes et d'assumer les coûts de cette nouvelle parure.
Et combien de temps les villes resteraient blanches ? Les gaz d'échappement recouvrent tout de noir. L'asphalte foncé est en fait un cache misère ! Stephen Chu a l'air d'être resté dans les sphères de la théorie. Pour sauver le monde... il faut commencer par avoir les pieds sur Terre !