La terrible maladie de Nicolas SARKOZY

Publié le par Lili407


 


Il arrive parfois qu'une information d'importance peine à se frayer un chemin jusqu'au temps de cerveau disponible du grand public.

Celle que je vais évoquer dans les lignes qui suivent a été sortie par Le Parisien (pas de lien, l'article est payant ) et reprise sur peu de sites d'informations, tandis que de nombreux sites satiriques en faisaient leur miel alors qu'il n'y a pas de quoi rire.

Cette information que l'on cherche à étouffer est la suivante.

Nicolas Sarkozy souffre d'une maladie cachée. Un handicap terrible dont il est visiblement inconscient et qui lui est ostensiblement tu par son entourage.

Rappel des faits pour ceux qui ne sont pas au courant.

Dans l'avion qui l'emmène le 25 mai dernier vers les Emirats Unis, le président se pique de causer littérature avec ses invités divers et variés. Parmi ces goûts très médiatiquement corrects, il se met à citer Houellebecq pour les contemporains et Celine, Sartre et Zola pour les moins contemporains. C'est à ce moment là que la révélation du terrible mal qui frappe le président se manifeste pour la première fois en public.

Le chef de l'Etat se lance dans une ode à l'oeuvre majeure de Zola, "Les Rougon-Macquart", et se met à évoquer les personnages de cette fresque en parlant des "Roujon-Macquart". Oui les "Roujon" et pas les "Rougon", négligeant cette petite règle élémentaire de la langue française qui consiste à prononcer les "g" suivis d'un "e" en "j" et non en "g".

Terrible handicap pour un président de la République. Terrible maladie qui nous était cachée jusqu'à présent. Le chef de l'Etat souffre d'un grave problème de langue et on ne nous avait rien dit. Malaise.

Voilà pour la première information touchant à l'état de santé réelle du premier des Français.

Mais ça n'est pas tout.

Le malade est inconscient de son état.

En effet, selon des témoins de cette scène aérienne (n'oublions pas que nous sommes dans un avion qui vole vers le golfe Persique), selon des témoins donc, personne, je dis bien personne n'a osé reprendre le chef de l'Etat pour lui dire tout simplement: "Monsieur le Président, il s'agit des Rougon, et non des Roujon Macquart". PERSONNE n'a osé. Personne n'a daigné accorder au malade de la langue la chance d'une guérison. Parmi tous ceux qui composaient ce jour-là l'entourage présidentiel, (conseillers, invités, journalistes), pas un, oui pas un n'a accordé à un homme atteint les premiers secours qu'impose la compassion. Second malaise.

Cela signifie que cet homme n'est pas informé de son état de santé, et compte tenu de son âge, cela fait bien cinquante ans que ça dure.

Serait-il à ce point atteint, voire condamné, pour que personne n'ose tenter une petite intervention et corriger cette maladie qui frappe la langue présidentielle? Ou bien, ce malade qui s'ignore fait-il à ce point peur à son entourage, journalistes compris que tous ont opté pour la conspiration du silence?

On s'inquiète d'autant plus que selon sa page Facebook, le chef de l'Etat est en train de lire les mémoires de Claude Lanzmann, "Le Lièvre de Patagonie".

Pourvu que Carla ne se pique pas d'organiser un déjeuner avec Lanzmann! Ce dernier ne sera pas du genre à faire semblant de ne rien remarquer quand son livre sera rebaptisé par son hôte "le Lièvre de Pâte à jauni".

Publié dans Billet d'humeur

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